Le bizutage est un rite qui s’est transmis de génération en génération. Très pratiqué dans les universités, il est pourtant très craint par les nouveaux étudiants et leurs parents. Des dérives ont en effet eu lieu dans certains établissements. Comme cette pratique est organisée par des étudiants, on imagine toujours le pire. Cette peur du bizutage peut alors troubler la rentrée de quelques uns et même les inciter à ne pas rentrer dans tel ou tel établissement. Malgré le fait qu’il ne soit plus autorisé, le bizutage est toujours d’actualité. Cet article démontrera alors qu’il n’est plus utile d’être absent lors des séances d’intégration grâce à ces quelques conseils.
L’esprit collectif
Le bizutage ne doit en aucun cas être pris au sérieux. Au contraire, cet évènement est une occasion pour s’amuser et faire connaissance avec votre promotion et les anciens. Cependant il est primordial que les « bizut » sachent se serrer les coudes car l’union fait la force et rien ne vaut la solidarité dans des moments pareils. L’astuce pour que tous les membres du groupe soient sur la même longueur d’onde est d’organiser une réunion en catimini et se mettre d’accord sur l’attitude à adopter. Ce rassemblement permettra entre autre d’anticiper des mesures à prendre en cas de débordement. L’encouragement mutuel est aussi très important, les plus récalcitrants seront plus ouvert au jeu et les bourreaux ralentiront un peu le rythme de la séance d’intégration.
Savoir dire non
Le fait de refuser une action est une décision très difficile pour un nouvel étudiant lors d’un bizutage. D’une part, le fait d’être soumis à autant de personnes laisse penser qu’on n’a pas le droit à la parole. D’autre part, il y a cette peur de ne pas être intégré et d’être exclu du groupe. Pourtant il est tout à fait le droit d’un étudiant de dire « stop » à partir du moment où il ne sent pas à l’aise ou qu’il sent que la séance va déraper. Par ailleurs, le bizutage a été interdit par le gouvernement Français depuis 1998 d’où la nouvelle appellation ; séance d’intégration. Les actes relevant du bizutage constituant maintenant un délit, vous serez protégés par la loi de Juin 1998 qui puni cette pratique avec 6 mois d’emprisonnement et 7500 Euros d’amende. Donc ne craignez pas de jouer les rabat-joies, vous vous en remercierez.